Il aime les villes, les rues, les architectures où l’homme vit, se trouve et se perd à grande échelle. Cette errance, Guiyome cherche à la retranscrire dans sa peinture, privilégiant les panoramas citadins peints sur papier journal.
Ainsi les constructions de béton ou de brique se superposent aux constructions écrites, les lignes aux lignes dans un quadrillage qui symbolise l’espace culturel déterminé par la cité. Lieu d’identité, d’échange, de mémoire ? Labyrinthe où les personnalités se fondent ? Synergie d’information, d’archivage ?
En jouant avec l’écrit, Guiyome interroge notre culture citadine, la passerelle entre architecture et civilisation. Depuis l’Asie jusqu’aux USA en passant par l’Europe, il revient ainsi sur un phénomène planétaire qui détermine l’évolution humaine.
Et plus si affinités
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