Alors que vous vous apprêtez à monter en bagnole sur les routes des vacances, ne vous étonnez pas si vous croisez ce genre de panneaux :
Pas de panique, ce n’est ni une blague (quoi que) ni la folie d’un employé municipal qui est en cause, c’est juste CLET qui est passé par là. Breton de souche, installé à Florence, Clet Abraham s’amuse depuis plusieurs années déjà à détourner les signalétiques de la route pour y apposer sa griffe poétique et bouffonne.
Du street art dans le sens premier du terme, qui investit la codification urbaine pour faire réfléchir à l’enfermement du signifié dans un signifiant parfois simpliste. On pense à Jérôme Mesnager et son homme blanc, aux pochoirs de Miss. Tic. Le jeu est évident, qui s’amuse des symboles et s’immisce dans les réflexes pour les déstabiliser.
Et plus si affinités