Ce jour, jetons nos oreilles affamées de bon son original et ciselé sur l’univers Bordelophone, avec en mémoire ce principe fondateur : ce combo n’a de bordélique que le nom. La preuve :
https://youtu.be/cFOAxc2ecyQ
On vous avait prévenu. Adepte du jazz hardcore ou du groove rock, le quatuor met un point d’honneur à mélanger les tendances pour décliner un cocktail phonique explosif et gorgé de vie. Au cœur de la formule chimique : la puissance de feu du métal, l’énergie échevelée du rock, la dinguerie syncopée du ska, la virtuosité du jazz.
https://youtu.be/vLjmvu8adGs
Et plus globalement une passion pour la musique, une grand élan d’amour pour la vie trépidante de musicien saltimbanque et fier de l’être, dixit l’inénarrable « Jambon », qui dit le bonheur de rouler sa bosse de salle en salle, l’appel irrépressible de la scène, le besoin vital de jouer ensemble.
https://youtu.be/KSKXAfUv1iY
Musicos jusqu’au bout de l’instrument ces loulous le sont : Jonathan Baron à la guitare, Olivier Michel à la basse, Francesco Marzetti à la batterie et, the last but not the least, Nicolas Benedetti au trombone. Une vieille connaissance donc, échappée de Enemy of the Enemy, qui troque sa gratte de warrior pour s’éclater à l’instrument à vent.
https://youtu.be/YrW5ec2nUMQ
Le tout nous vaut un joyeux quadrille bourré d’émotions sonores et d’expérimentations heureuses, qui tranche sur la platitude musicale ambiante. Un album éponyme est en phase d’accouchement pour fin octobre, et preuve que le concept séduit, Sanseverino est venu assurer le chant sur l’incontournable « Jambon », ce qui en dit long sur l’ADN de ce Bordelophone à l’avenir radieux.
Et plus si affinités :
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https://soundcloud.com/bordelophone
