Bimboumbadaboum : la Discoslut s’apprête à envahir les salles du Klub en mode fièvre du vendredi soir ! Pour la team Bragi Pufferfish, mars 2025 se terminera dans une ambiance boule à facette et col pelle à tarte (Travolta, ne sors surtout pas de ce corps), avec une prog resserrée mais d’extrême qualité.
Trois pour faire tanguer le dancefloor
Moiteur disco, quand tu nous tiens ! Bien calés derrière leurs platines, ils seront trois à faire tanguer le dancefloor. J’ai nommé :
Fabisounours
Trois noms, trois approches, trois styles. Et une problématique : la survivance du disco, sa déclinaison à l’heure du tout numérique et de l’IA. Sans sombrer dans la nostalgie, en méditant sur les nouvelles déclinaisons de ce genre si spécifique. Ce qui nous amène à faire un peu le point sur ce qui vous attend.
Tendances disco et modernes déclinaisons
Sans trahir une prog dont nous ne savons encore rien vu qu’elle est en phase de gestation dans la tête et sur les ordis de nos trois DJ, cela vaut le coup de faire un petit récap sur les tendances disco qui les inspirent et dont vous entendrez plusieurs cocktails au fil de cette folle nuit (donc autant revoir votre conjugaison disco, ça ne fera pas de mal).
Nu-disco : le revival chic et smooth
La nu-disco (ou new disco) est née dans les années 2000 en Scandinavie, en Angleterre et en France (coucou Daft Punk, Yuksek, Breakbot, L’Impératrice…). C’est un remix moderne du disco originel :
- même groove funky,
- grosses lignes de basse,
- mais avec des sons électroniques propres, des synthés vintage,
- et une vibe beaucoup plus léchée.
Ambiance : rooftop à sunset, paillettes mais version 2025, champagne et moiteur élégante.
Dark disco : le côté obscur de la piste
La dark disco garde la rythmique dansante du disco mais y injecte une bonne dose de noirceur.
- C’est plus lent, plus lourd, presque hypnotique.
- Les sons sont crades, acides, parfois un peu EBM (electronic body music), post-punk, techno.
- Les ambiances peuvent être cold wave ou industrielles.
Ambiance : club berlinois à 3h du mat, cuir, fumée et sueur noire.
Italo-disco : le kitsch qui claque
L’italo-disco, c’est le disco version italienne des années 80, ultra synthétique, bourré de boîtes à rythmes, de synthés cheap, de voix trafiquées et d’une énergie euphorisante.
- C’est flashy, naïf, parfois même un peu ridicule, mais complètement jouissif.
- Les grands noms : Gazebo, Ken Laszlo, Ryan Paris, Savage, et les tubes qu’on n’oublie pas (Tarzan Boy, I Like Chopin, Dolce Vita…).
Ambiance : néons roses, scooter Vespa, clip kitsch sur VHS, déhanché assumé.
Bon maintenant que vous avez revu vos classiques, à vous de jouer. Mettez-vous dans le mood en attendant d’être dans le moove. Et préparez-vous à pénétrer le safespace de la Discoslut comme on le ferait d’un terrain d’expérimentation, un labo où combiner les sons disco pour assurer leur longévité !
Pour préparer votre soirée, consultez le compte Instagram de la Discoslut party.
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