Le Pont des espions : la Guerre Froide en nuances
Hasard du calendrier notre chronique sur Le Pont des espions tombe en même temps que les résultats des Oscars qui consacrent Mark Rylance meilleur second rôle. Et le hasard fait bien les choses, car la manière dont l’acteur britannique, déjà apprécié dans Wolf Hall, campe l’espion russe Rudolph Abel est tout à fait représentative de l’ensemble de l’oeuvre, de l’atmosphère qui s’en dégage : en nuances. Une fois de plus, Spielberg…