A l’avant garde : L’Androgynette, entre tatouages calligraphiques et poésie de la résilience
À quoi sert un tatouage ? À être beau ? S’assimiler à un groupe, afficher un statut ? Montrer qu’on est un rockeur dans l’âme ? Revendiquer sa rébellion toutes encres dehors ? Se reconstruire psychiquement ? Se souvenir combien on en a chié, à quel point la vie et l’être sont fragiles ? Devenir le livre de ses propres errances ? Toutes ces questions sont synthétisées dans les œuvres…