Un Faune au Printemps : Marie Chouinard et les cornes d’abondance ?
Partager sur : Facebook Pinterest Twitter Linkedin Reddit Buffer Messenger Diaspora Xing Copy Print Email Pas si évident, on l’a vu avec Le Jardin des délices, de créer sur un chef d’œuvre qui vous paralyserait plutôt. Debussy l’osa en son temps, à partir de l’églogue de Mallarmé rendu public en 1876, et Nijinski, idem, en brodant trente-six ans plus tard sur le poème symphonique éponyme (ou presque) composé en 1894…