On dirait un tableau de Caravage, de Fentin Latour. L’éclairage, le modelage des chairs, les couleurs, l’attitude, … tout rappelle les grands maîtres du XVIIème siècle, les grandes heures du maniérisme.
Et au milieu de la table, trônant à côté des symboles propres à la sainte, une Louboutin, comme un souvenir de la vie de plaisir qu’affectionnait l’ancienne prostituée. Le dernier signe d’ostentation qu’on ne peut se résoudre à perdre ? Ou l’ultime élégance de l’âme ?
Le message est duplice, ambigü et en signant ce cliché ainsi que la série qui le complète Peter Lippmann marque un grand coup en matière de communication et de campagne publicitaire.
Et plus si affinités