Alors que les beaux jours s’installent progressivement, commencent à poindre des envies d’apéritif, de dînettes entre amis sous la tonnelle. On se sert d’un peu de ci, d’un peu de ça, qu’on mange à la cuillère, qu’on étale sur du bon pain frais, qu’on utilise pour agrémenter un plat simple, viande, poisson, fromage …
Produits de terroir et de qualité
C’est alors qu’intervient L’Épicurien et son catalogue de préparations en pots, salées ou sucrées. Tapenades de facture multiple, duxelle de champignons, crème de ratatouille, de petits pois à la menthe, de poivrons … il y a en a pour tous les goûts quand on apprécie les produits de terroir et de qualité. Idem en version dessert avec des crèmes d’amande, des confitures et des gelées aux fruits ou aux fleurs, des pâtes au chocolat (la version praliné est un véritable appel au péché de gourmandise).
Un savoir hérité des confituriers du XIXeme siècle
Quant aux confits, ils sont conçus par agrémenter des plateaux de fromages de la plus délicate des manières, dans un florilège où vin blanc, vin rouge, miel, thym, mangue, mirabelle, coings, fraternisent harmonieusement. Normal : avec trente ans de pratique, L’Épicurien a su parfaire ce savoir hérité des confituriers du XIXeme siècle, pour l’adapter aux attentes actuelles en terme de dégustation. Pour réveiller ce patrimoine, une famille Centrée autour de Bernard Le Gulvout qui a entraîné ses neveux dans l’aventure.
Sous le soleil languedocien
C’était à Saint mandé en 1982, avant que l’entreprise ne descende dans le Sud, s’enraciner sous le soleil languedocien qui inonde les cultures fruitières et les champs d’oliviers. Un choix judicieux qui a su vivifier une inspiration, une créativité déjà très alertes, tout en offrant l’opportunité d’accentuer l’exigence d’authenticité et de qualité initialement inscrite dans cette démarche. Vous savez ce qu’il vous reste à faire ?
Et plus si affinités