De « Band of Brothers » à « Masters of the air » : reconstitution fidèle et passation de la mémoire
On se souvient tous du magistral Il faut sauver le soldat Ryan (1998) : en une séquence d’ouverture sidérante, Spielberg accouche d’un chef-d’œuvre de véracité, narrant l’horreur du débarquement de juin 44 avec une justesse prenante, un sentiment de quête absurde. Un chambardement majeur dans l’esthétique du film de guerre ! Le succès aidant, une série, Band of brothers, voit le jour en 2001, suivie d’un Band of brothers –…