Les Anonymes – Ùn’ pienghjite micca : à crime d’exception, justice d’exception ?
6 février 1998- Ajaccio : le préfet Erignac tombe sous les balles de terroristes corses. Un an plus tard, la Division nationale anti-terroriste, chargée de l’enquête, arrête les Anonymes, un groupuscule dissident, visiblement impliqué. Dans les affaires de terrorisme, la garde à vue dure quatre-vingt-seize heures. C’est le temps dont disposent les policiers pour faire avouer les suspects. Depuis le meurtre jusqu’à l’instruction judiciaire, Pierre Schoeller se saisit du sujet…