Cinéma / Hannah Arendt : disséquer la banalité du mal …
En moins de deux semaines, j’ai pu voir l’avant première de Evil Dead et une représentation de Grand Guignol. Deux soirées durant lesquelles j’ai allégrement pataugé dans l’hémoglobine de synthèse et les mutilations factices. Ce que d’aucuns considèrent avec dédain, d’autres avec rejet, les troisièmes persuadés que ce genre de « spectacle » engendrent la violence et l’horreur. Et pourtant … l’horreur, la vraie, c’est dans Hotel Rwanda, La déchirure, Elle s’appelait…