Eh ben voilà, une fois de plus j’étais partie sur une chronique album et je me retrouve avec une discographie à éplucher. Pour mon plus grand, intense et total plaisir, car The Rebels of Tijuana tapent pile poil sur mon point G musical : le rock 60’s garage et déjanté !
Quelques orgasmes mélodiques plus tard, je reprends mon souffle et ma plume pour vous narrer la chose … Donc que ce soit en anglais ou en français, les tracks de ces messieurs jouent la carte yéyé boosté au méthanol. TNT musicale, coup de fouet assuré, slash ! Ça fait chaud sur la croupe, oups coquine ! Mais c’est qu’on en redemande ! Et on n’est pas déçu, car depuis 2008, date de sa naissance, le combo franco-suisse a été prolixe !
J’adore les flics EP 2009 (frémissement de plaisir), Where did this trip go wrong ? LP 2010 (gémissement de bonheur), Un foutu hippie EP 2011 (montée à l’orgasme), La Bourgeoise LP 2012 (cri d’exultation), Mambo EP 2013 (nouvelle volupté), #3 LP 2016 (bah on reste perché bien haut dans le bonheur) … réguliers et constants dans l’effort et le coup de mediator, les cinq rebelles alternent balades et cavalcades sur de furieuses tarentelles de synthé vintage, assortis de riffs rageurs, le tout rehaussé d’harmonica …
Bon Dieu, je n’en puis plus ! Mes tympans aussi échauffée que l’arrière train d’une porn star allemande dans un film X des 80’s, je me laisse porter par cette atmosphère ouateuse où les cactus mexicains me picotent délicieusement. Et The Rebels of Tijuana de rejoindre mon nirvana aux côtés des Fuzztones, Primal Scream, Dandy Warhols, Charlatans et Bikini Machine ! Une seule chose vous reste à faire, lecteurs, lâchez cet article, filez sur Deezer et écoutez-moi tout ça, pour le meilleur, le meilleur et le meilleur !
Et plus si affinités (et prévoyez une serviette, ça va vous chauffer partout)
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