Du punch, du bagout, de l’énergie, des sons torturés, des volumes amples, de la nervosité dans les glitches, des paroles tranchantes : posées il y a quatre ans, les bases d’Undergang ont fait leurs preuves. Depuis le musicien electro rock toulousain ne cesse de frapper, avec la puissance d’un marteau piqueur, la virulence d’un bombardement aérien, la justesse d’un scalpel de neurochirurgien.
Sautant de l’anglais au français, il retient des deux années passées au sein du combo La Phaze un sens aigu de la rébellion qu’il a su exprimer au long de quatre albums et 10 ans de tournée dans l’Hexagone et off shore. Jamais deux rythmes semblables, des étincelles de hip hop, des éclats de dubstep, des mitrailles de rock, le cocktail est digne d’un bon Molotov incendiaire et ravageur.
En perspective à l’horizon, une palette d’influences, Nine Inch Nails, Foreign Beggars, Archive, Beastie Boys, Noisia, Léo Ferré, Hendrix, Deftones, IAM, où le musicien puise son infinie vigueur, tout en innovant à chaque track, pour s’ouvrir des portes sur d’autres univers. Le tout est fichtrement boosté et décape à chaque tournant, à l’écoute comme en live.
Undergang @ La Dynamo from Baptiste Henry | BANKUT Studio on Vimeo.
Et plus si affiinités